Le shad par Alex 29/27
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Le shad par Alex 29/27
Voici la première partie d'un article . Bonne lecture.
Influer sur le rolling et le wobbling du leurre
Si shad vous intéresse ... (Partie 1)
Il y a quelques temps, a été évoquée sur PAB 2 la pêche avec les leurres types finesse ou encore slug par le biais de la pêche à la volée. Il existe d’autres techniques de pêche aux leurres souples plus conventionnelles et plus pratiquées. Je vais essayer de les aborder ici en parlant tout d’abord du shad et de ses caractéristiques principales puis des techniques qui peuvent lui être dédiées.
Qu’est ce qu’un shad ?
Un shad est caractérisé par sa forme rappelant celle d’un poisson, d’où sa dénomination anglo-saxonne. La grosse particularité de cette famille de leurre est la présence d’un battoir caudal plus ou moins large. Chaque modèle est caractérisé par une section, une forme et une texture plus ou moins souple. Ces trois variables combinées vont imprimer au leurre une nage et des vibrations qui lui seront propres. Nous allons nous intéresser plus particulièrement à deux caractéristiques principales de la nage du shad : le rolling et le wobbling. Le rolling correspond au basculement du leurre sur lui-même autour d’un axe horizontal passant par le centre du leurre. Les vibrations créées sont plutôt rapides et se propagent peu dans l’eau. Le wobbling est une ondulation du leurre appelée également nage en « S », caractéristique des swimbaits. Les vibrations générées sont cette fois plus amples et vont déplacer plus d’eau. Elles se propagent alors plus loin. Certains leurres vont combiner les deux mouvements dans des proportions différentes selon ce que le concepteur veut obtenir. Comme pour le choix d’un poisson nageur, le choix du leurre souple et de sa tête plombée sera déterminé par les conditions de pêche (profondeur, courant, activité du poisson, luminosité, couleur de l’eau, …) qui fixeront les caractéristiques du leurre telles que couleur, taille, forme et poids de la tête plombée et nage du leurre, ce qui nous intéresse plus précisément ici.
Début 2012, nous avons vu cette notion être rendue plus abordable, plus compréhensible pour tous les pêcheurs par la team Pezon et Michel avec l’arrivée récente des leurres Gunki qu'ils ont testé sérieusement sur le terrain durant plusieurs saisons avant leur commercialisation cette année. Au dos des pochettes de ces produits, on peut retrouver un schéma récapitulant les caractéristiques de nage de chaque référence de la gamme.
Qu’est ce qu’un shad ?
Un shad est caractérisé par sa forme rappelant celle d’un poisson, d’où sa dénomination anglo-saxonne. La grosse particularité de cette famille de leurre est la présence d’un battoir caudal plus ou moins large. Chaque modèle est caractérisé par une section, une forme et une texture plus ou moins souple. Ces trois variables combinées vont imprimer au leurre une nage et des vibrations qui lui seront propres. Nous allons nous intéresser plus particulièrement à deux caractéristiques principales de la nage du shad : le rolling et le wobbling. Le rolling correspond au basculement du leurre sur lui-même autour d’un axe horizontal passant par le centre du leurre. Les vibrations créées sont plutôt rapides et se propagent peu dans l’eau. Le wobbling est une ondulation du leurre appelée également nage en « S », caractéristique des swimbaits. Les vibrations générées sont cette fois plus amples et vont déplacer plus d’eau. Elles se propagent alors plus loin. Certains leurres vont combiner les deux mouvements dans des proportions différentes selon ce que le concepteur veut obtenir. Comme pour le choix d’un poisson nageur, le choix du leurre souple et de sa tête plombée sera déterminé par les conditions de pêche (profondeur, courant, activité du poisson, luminosité, couleur de l’eau, …) qui fixeront les caractéristiques du leurre telles que couleur, taille, forme et poids de la tête plombée et nage du leurre, ce qui nous intéresse plus précisément ici.
Début 2012, nous avons vu cette notion être rendue plus abordable, plus compréhensible pour tous les pêcheurs par la team Pezon et Michel avec l’arrivée récente des leurres Gunki qu'ils ont testé sérieusement sur le terrain durant plusieurs saisons avant leur commercialisation cette année. Au dos des pochettes de ces produits, on peut retrouver un schéma récapitulant les caractéristiques de nage de chaque référence de la gamme.
Ceci permet d’aller plus loin que le simple fait de jeter un leurre dans l’eau et de le ramener en espérant trouver le leurre du jour au petit bonheur la chance. Cela va permettre de se pencher précisément sur les caractéristiques de nage du leurre que l'on utilise. Ainsi, si tel jour on prend un poisson avec tel leurre monté de telle manière, ce n’est pas forcément la couleur, mais la nage du leurre qui a peut être été déterminante. On peut alors imaginer savoir quelles ont été les bonnes ou les mauvaises vibrations du jour et les recouper avec les conditions de pêche du moment. Il est donc important de comprendre et connaître la nage de ses leurres pour optimiser ses sorties.
Sur ce même schéma, nous voyons également que l’amplitude des vibrations ainsi que leur fréquence sont évoquées. Ces deux caractéristiques découlent en partie de la rigidité du leurre dans son ensemble ou en partie. L’obtention d’une nage est donc une savante combinaison de la forme, de la souplesse et de la section du leurre. Il n’y a pas de secret, la meilleure façon de connaître la nage d’un leurre est de l’essayer. Mais on ne peut pas tout tester, alors, pour simplifier, au risque d’être un peu trop simpliste (car ce n’est pas le seul critère), on a généralement une bonne idée de la nage si on s’intéresse particulièrement à la section du leurre. Une section ronde va favoriser un wobbling prononcé et plus le shad sera souple, plus le mouvement sera ample. Une section plutôt effilée sera caractéristique d’un rolling marqué d’autant plus que le leurre sera rigide La fréquence de vibration en sera d’autant plus importante. Mais attention, je le redis, c’est vraiment histoire de simplifier, ce n’est pas vrai pour tous les shads car d’autres critères interviennent sur la nage. Voici un exemple sur cette histoire de section en image.
Sur ce même schéma, nous voyons également que l’amplitude des vibrations ainsi que leur fréquence sont évoquées. Ces deux caractéristiques découlent en partie de la rigidité du leurre dans son ensemble ou en partie. L’obtention d’une nage est donc une savante combinaison de la forme, de la souplesse et de la section du leurre. Il n’y a pas de secret, la meilleure façon de connaître la nage d’un leurre est de l’essayer. Mais on ne peut pas tout tester, alors, pour simplifier, au risque d’être un peu trop simpliste (car ce n’est pas le seul critère), on a généralement une bonne idée de la nage si on s’intéresse particulièrement à la section du leurre. Une section ronde va favoriser un wobbling prononcé et plus le shad sera souple, plus le mouvement sera ample. Une section plutôt effilée sera caractéristique d’un rolling marqué d’autant plus que le leurre sera rigide La fréquence de vibration en sera d’autant plus importante. Mais attention, je le redis, c’est vraiment histoire de simplifier, ce n’est pas vrai pour tous les shads car d’autres critères interviennent sur la nage. Voici un exemple sur cette histoire de section en image.
En haut, le swim impact Keitech au wobbling prononcé, en bas le shaker Lunker-City au rolling marqué. Entre deux un leurre qui allie parfaitement rolling et wobbling : le jerky J swim Castaic.
Influer sur le rolling et le wobbling du leurre
Chaque leurre est donc principalement caractérisé par l’un et/ou l’autre de ces deux mouvements. Surtout lorsqu’ils sont distribués avec une tête plombée spécifique, tel que le nitroshad et sa nitrohead. Mais il est possible pour un leurre donné de modifier sa nage initiale. Pour cela, le pêcheur à deux manières à sa disposition.
La première est le choix de la tête plombée. Je l’avais déjà évoqué dans le report concernant les têtes Astufish. Pour un même shad deux têtes différentes peuvent donner deux nages distinctes. Exemple ici avec un classique du genre, le shaker 4’’1/2 (11,5cm).
La première est le choix de la tête plombée. Je l’avais déjà évoqué dans le report concernant les têtes Astufish. Pour un même shad deux têtes différentes peuvent donner deux nages distinctes. Exemple ici avec un classique du genre, le shaker 4’’1/2 (11,5cm).
Les têtes de haut en bas : Lulu 20grs Astufish, Zulp 20grs Powerline et Pro Jig head 18grs Storm. Toujours de haut en bas, plus la tête va être cylindrique et équilibrée sur l’axe horizontal du shad, plus le wobbling sera marqué. Pour être sûr d’avoir un bon wobbling, il ne faut pas hésiter à utiliser des têtes plombées dont la hampe de l’hameçon est courte. Le mouvement du shad est alors plus libre. A contrario, on peut utiliser une tige longue si l’on souhaite « brider » le wobbling et plutôt jouer sur l’effet rolling.
L’autre manière d’accentuer l’un ou l’autre de ces mouvements est le positionnement de la tête plombée sur le leurre. Pour illustration, voici le nitroshad (à gauche) monté sur une Fishead Sakura.
L’autre manière d’accentuer l’un ou l’autre de ces mouvements est le positionnement de la tête plombée sur le leurre. Pour illustration, voici le nitroshad (à gauche) monté sur une Fishead Sakura.
Le mouvement de rolling va être amplifié si on oriente la tête plombée à 45° par rapport à l’axe longitudinal du leurre (leurre du bas). La majorité du poids de la tête plombée passe alors sous cet axe, ce qui augmente l’effet rolling du leurre. En deuxième exemple pour illustrer l’importance du positionnement de la tête plombée, je vais revenir sur les leurres de la gamme Gunki qui présentent volontairement deux points d’insertion (encore une volonté à but didactique de l’équipe Pezon pour rendre plus compréhensible la pêche aux leurres). L’un se trouve sur l’axe longitudinal du leurre pour privilégier le wobbling, le second plus bas, va privilégier le rolling (à droite sur la photo). Voici donc pour la partie la plus technique, un peu rédhibitoire certes, mais qui permet de mieux comprendre le fonctionnement de nos shads. Ce qui va permettre par la suite de mieux utiliser cette famille de leurres selon les conditions de pêche et la ou les techniques que vous aurez choisi de pratiquer. Voici un récapitulatif des techniques possibles au shad.
Le shad en linéaire On parle ici d’une technique de powerfishing (pêche rapide), praticable du bord comme en embarcation. On la nomme également crancking shad, certains parlent même de shad à la volée. La taille moyenne des leurres utilisés est de 10-12cm. Ce qui correspond à une taille tout venant que l’on peut adapter par la suite en fonction des conditions (poissons fourrage plus petits par exemple). Il n’y a pas plus simple comme animation : on ramène le leurre en continue à la manière d’un cranckbait, canne orientée à 45° environ pour limiter les décrochages et optimiser les ferrages. Toujours pour limiter le risque de décrochés, la canne devra être d’action moderate-fast, pour pouvoir « rendre la main » naturellement à la touche. J’ai ma préférence pour les cannes prévues pour le cranckbait, elles permettent au shad d’être bien aspiré à la touche sans trop offrir de résistance. La récupération du leurre peut être ponctuée de pauses ou d’accélérations qui se font au moulinet pour toujours garder la canne bien orientée. Une récupération lente sera plutôt à utiliser sur des poissons en phase d’alimentation. La récupération rapide permettra plutôt de jouer sur les attaques réflexes. Lors de la touche, il arrive de ferrer dans le vide. Dans ce cas, ne récupérez pas tout de suite, laissez le leurre redescendre et reprenez la récupération. Le poisson peut revenir à ce moment. D’où l’utilité de coller les leurres pour être sur d’avoir un leurre toujours pêchant dans ce genre de situation.
Pour cette pêche de prospection, j’ai tendance à privilégier les leurres au wobbling prononcé car les vibrations se propagent plus loin. En voici quelques exemples : paddle tail tube type Hollowbelly Berkley, Swim Shad Keiteich, Sweep Gun Pezon et Michel, SlitShad Sakura, Jerky J Swim Castaic, …
Pour cette pêche de prospection, j’ai tendance à privilégier les leurres au wobbling prononcé car les vibrations se propagent plus loin. En voici quelques exemples : paddle tail tube type Hollowbelly Berkley, Swim Shad Keiteich, Sweep Gun Pezon et Michel, SlitShad Sakura, Jerky J Swim Castaic, …
Dans certains cas, c’est le rolling qui prédominera on peut alors utiliser le Ripple Shad Berkley, le Roller Gun Pezon et Michel, le Shaker Lunker city, Shad GT Delalande, …
Le shad en traction
Les gros poissons répondent plus difficilement aux pêches rapides type volée ou linéaire. La pêche en traction est alors une technique particulièrement adaptée pour les solliciter. Elle se pratique initialement en bateau en présentant le shad en travers du courant, souvent ¾ aval (de la dérive). Les leurres sont de plus grande taille que ceux utilisés en linéaire et vont être présentés sur des secteurs relativement profonds (15 à 60m). Comme son nom l’indique, l’animation se réalise par une succession de tractions. Pour ce faire on lance le leurre qu’on laisse descendre jusqu’au fond. Lors du contact avec le substrat on va décoller le leurre d’une bonne hauteur en réalisant une ample traction lente que l’on va accélérer sur la fin pour décoller le leurre d’une bonne hauteur. Puis on laisse redescendre le leurre en gardant la ligne tendue pour détecter la touche et en récupérant l’excédent de bannière par la même occasion. Lors du nouveau contact avec le fond on recommence. Cette traction peut se faire verticalement ou horizontalement afin de rester plus proche du fond. La canne d’action de pointe marquée (fast) utilisée pour cette pêche est très spécifique. Elle doit avoir une puissance de 20 à 80grs (pour pouvoir propulser le poids combiné du leurre et de sa tête plombée) et une longueur minimum de 2,20m, l’optimum étant à 2,50m pour avoir une bonne amplitude de traction et une distance de lancer importante puisque la pêche se fait face à la dérive. Le leurre pêche ainsi plus longtemps à chaque lancer. Les monobrins ou les 1+1 (blank + talon) permettent une meilleure action et une bonne résonnance et sont donc particulièrement bien adaptées au vu des profondeurs pêchées. Le moulinet doit avoir une récupération de 80 cm au tour de manivelle environ. Sa taille va dépendre de l’équilibre de l’ensemble canne-moulinet. Un taille 4000 voire 5000 selon le modèle passe très bien sur une canne de 2,50m. La tresse utilisée sera en 14 ou 16/100 avec un bas de ligne en fluorocarbone de 30 à 45/100. Là encore, il ne faut pas hésiter à jouer sur les différents type de vibration des leurres. Les shads au rolling prononcé ont quand même la préférence de nombreux pratiquants : Nitroshad Illex, Megashad flashmer, Shaker Lunker City, Shad GT Delalande, …
Les gros poissons répondent plus difficilement aux pêches rapides type volée ou linéaire. La pêche en traction est alors une technique particulièrement adaptée pour les solliciter. Elle se pratique initialement en bateau en présentant le shad en travers du courant, souvent ¾ aval (de la dérive). Les leurres sont de plus grande taille que ceux utilisés en linéaire et vont être présentés sur des secteurs relativement profonds (15 à 60m). Comme son nom l’indique, l’animation se réalise par une succession de tractions. Pour ce faire on lance le leurre qu’on laisse descendre jusqu’au fond. Lors du contact avec le substrat on va décoller le leurre d’une bonne hauteur en réalisant une ample traction lente que l’on va accélérer sur la fin pour décoller le leurre d’une bonne hauteur. Puis on laisse redescendre le leurre en gardant la ligne tendue pour détecter la touche et en récupérant l’excédent de bannière par la même occasion. Lors du nouveau contact avec le fond on recommence. Cette traction peut se faire verticalement ou horizontalement afin de rester plus proche du fond. La canne d’action de pointe marquée (fast) utilisée pour cette pêche est très spécifique. Elle doit avoir une puissance de 20 à 80grs (pour pouvoir propulser le poids combiné du leurre et de sa tête plombée) et une longueur minimum de 2,20m, l’optimum étant à 2,50m pour avoir une bonne amplitude de traction et une distance de lancer importante puisque la pêche se fait face à la dérive. Le leurre pêche ainsi plus longtemps à chaque lancer. Les monobrins ou les 1+1 (blank + talon) permettent une meilleure action et une bonne résonnance et sont donc particulièrement bien adaptées au vu des profondeurs pêchées. Le moulinet doit avoir une récupération de 80 cm au tour de manivelle environ. Sa taille va dépendre de l’équilibre de l’ensemble canne-moulinet. Un taille 4000 voire 5000 selon le modèle passe très bien sur une canne de 2,50m. La tresse utilisée sera en 14 ou 16/100 avec un bas de ligne en fluorocarbone de 30 à 45/100. Là encore, il ne faut pas hésiter à jouer sur les différents type de vibration des leurres. Les shads au rolling prononcé ont quand même la préférence de nombreux pratiquants : Nitroshad Illex, Megashad flashmer, Shaker Lunker City, Shad GT Delalande, …
Conclusion
Pour conclure cette première partie, je dirais que le choix d’un leurre ou d’un autre peut paraître complexe mais l’approche est toujours la même, faire des essais, les valider ou non puis se faire sa propre opinion : tel leurre, tel nage dans telles conditions. La tenue d’un carnet de capture peut alors être un plus. Selon les conditions, le but sera donc de savoir s’adapter tant en trouvant un des bons leurres du moment et donc la bonne nage. J’insiste sur « un des bons » car il n’y a pas de leurres miracle et pour les mêmes conditions de pêche, plusieurs leurres feront l’affaire, surtout avec le large choix proposé maintenant chez nos détaillants. Cela passe donc par une bonne connaissance de ses leurres. Mieux vaut avoir quelques références de leurres dans sa boite et connaître toutes les possibilités qu’ils offrent sur le bout des doigts que d’avoir une boite pleine à craquer et ne pas savoir quel modèle choisir. Il faut également définir la technique à employer parmi les différentes approches existantes et là encore, il faudra tester pour se faire sa propre opinion. Nous venons de voir la pêche en linéaire et la pêche en traction. Reste d’autres techniques à aborder pour utiliser tout le potentiel des shads mais au vu des informations déjà présentes et de celles à venir, nous aborderons cela dans une seconde partie très bientôt…
Pour conclure cette première partie, je dirais que le choix d’un leurre ou d’un autre peut paraître complexe mais l’approche est toujours la même, faire des essais, les valider ou non puis se faire sa propre opinion : tel leurre, tel nage dans telles conditions. La tenue d’un carnet de capture peut alors être un plus. Selon les conditions, le but sera donc de savoir s’adapter tant en trouvant un des bons leurres du moment et donc la bonne nage. J’insiste sur « un des bons » car il n’y a pas de leurres miracle et pour les mêmes conditions de pêche, plusieurs leurres feront l’affaire, surtout avec le large choix proposé maintenant chez nos détaillants. Cela passe donc par une bonne connaissance de ses leurres. Mieux vaut avoir quelques références de leurres dans sa boite et connaître toutes les possibilités qu’ils offrent sur le bout des doigts que d’avoir une boite pleine à craquer et ne pas savoir quel modèle choisir. Il faut également définir la technique à employer parmi les différentes approches existantes et là encore, il faudra tester pour se faire sa propre opinion. Nous venons de voir la pêche en linéaire et la pêche en traction. Reste d’autres techniques à aborder pour utiliser tout le potentiel des shads mais au vu des informations déjà présentes et de celles à venir, nous aborderons cela dans une seconde partie très bientôt…
Re: Le shad par Alex 29/27
Bon déjà , se revoir tout ça là pendant l 'hiver !! Merci Alex!
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Armeanete- Staff Passion-Peches
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Re: Le shad par Alex 29/27
merci alex!... toujours au top!...
rod addict- Bar
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Re: Le shad par Alex 29/27
Bien bel article
Fiumara- Modérateur d honneur
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Re: Le shad par Alex 29/27
Bel article, bravo et merci.
A titre perso, chaque année j'ai une bonne vingtaine de leurres dans ma boite ... et je pêche toujours avec les deux ou trois mêmes ...
A titre perso, chaque année j'ai une bonne vingtaine de leurres dans ma boite ... et je pêche toujours avec les deux ou trois mêmes ...
patrick65- Rascasse
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Re: Le shad par Alex 29/27
patrick65 a écrit:Bel article, bravo et merci.
A titre perso, chaque année j'ai une bonne vingtaine de leurres dans ma boite ... et je pêche toujours avec les deux ou trois mêmes ...
Tout le monde fait pareil, des boîtes pleines et les meme dans l eau!
Re: Le shad par Alex 29/27
Oui, mais c'est un besoin d'avoir le choix ...on peut pas s' empêcher pour se rassurer d'en avoir un max ....on respire mieux en partant à la pêche !
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Re: Le shad par Alex 29/27
Tout à fait d'accord, le fait de se dire j'ai X leurres dans ma boite, est rassurant, certains ne verront jamais l'eau.
piranha95- Bar
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Re: Le shad par Alex 29/27
très bien cet article, intéressant et clair.
c'est sur on part toujours avec trop de leurre dans le sac, si sur un bateau ça passe, du bord on en arrive toujours à regretter d'avoir amené autant de plastique et de plomb. bilan on rentre les épaules en vrac.
c'est sur on part toujours avec trop de leurre dans le sac, si sur un bateau ça passe, du bord on en arrive toujours à regretter d'avoir amené autant de plastique et de plomb. bilan on rentre les épaules en vrac.
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Mon blog à moi ou y'a tout, ou presque : http://louxfishing.blogspot.fr/
Re: Le shad par Alex 29/27
d'accord avec loux, au maxi sur une partie de peche tu vas sortir 10 a 15 leurres , car changer tout le temps ca sert a rien et si tu prend pas le temps d'essayer ton suffisamment longtemps, tu es sans arret en train de chager de leurre ce qui est parfois assez long
pour moi il faut avoir du LS, du leurre de surface et du vif...apres on peux toujours pinailler mais déjà avec cette base si tu prend rien c'est que le fish n'est pas là ...et j'ai oublié le flashmer
pour moi il faut avoir du LS, du leurre de surface et du vif...apres on peux toujours pinailler mais déjà avec cette base si tu prend rien c'est que le fish n'est pas là ...et j'ai oublié le flashmer
cricri76- Bar
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Re: Le shad par Alex 29/27
Bonsoir .
http://fish.for.fun.blog.free.fr/index.php?category/Techniques
Si (le) shad vous intéresse... (Partie 2)
Article et crédit photos = Alexandre Gardien ==> Alex 29/27
Dans la première partie, nous avons évoqué ce qui caractérisait un shad en s’arrêtant plus particulièrement sur sa nage et la manière de modifier celle-ci si nécessaire pour s’adapter au mieux aux conditions de pêche. Ont également été décrites deux techniques, l’une en vogue ces dernières années : la traction. L’autre simple à mettre en œuvre, utilisable en mer et de plus en plus citée pour l'eau douce : la pêche en linéaire. Cette seconde partie est plutôt un récapitulatif des autres techniques pouvant faire intervenir les shads. Elles ne sont pas si nombreuses que ça et ont l’avantage d’être complémentaires au deux précédentes et de pouvoir être pratiquées avec d’autres familles de leurres tels que finesse, worms, slugs,… et ce, en mer comme en eau douce.
La pêche à gratter
Cette pêche s’applique aux shads mais pas que … Les worms, finesses, slugs, virgules peuvent également être de mise. Comme sont nom l'indique, il va falloir ici pêcher en grattant le fond en y laissant le leurre le plus possible (attention, je n’ai pas dit « le plus de leurres possibles »). Le but est de suivre au mieux la topographie en exerçant des petites tirées plus ou moins sèches avec éventuellement des petits temps de pause et de brefs décollements du fond avec une animation en dent de scie.
Cette technique se destine à des poissons plutôt peu actifs et donc peu enclins à mordre. On peut la pratiquer du bord comme en bateau. La longueur de la canne sera donc en conséquent : 2,10m sur l’eau et 2,40m à 2,70m du bord. La puissance dépend des leurres utilisés et peut donc aller de 10-30grs à 50-100grs. Les tresses sont également fonction des leurres utilisés et poissons recherchés. 12 à 20/100 et 28 à 45/100 pour les fluorocarbones. Les risques d’accroche étant relativement élevés, il est possible de passer en texan comme nous le verrons un peu plus loin.
Pour cette pêche à partir d’une embarcation, la canne doit être courte (1,80 à 2,10m) avec une action Xtra-fast à fast. La tresse et le fluorocarbone seront du plus faible diamètre possible par rapport aux conditions de pêche. Ils permettrons de diminuer l’appui du courant sur la ligne et donc de la garder le plus verticale possible tout en minimisant le poids de la tête plombée.
L’animation : il faut prendre contact avec le fond, puis légèrement décoller le leurre de quelques centimètres ou dizaine de centimètres et le laisser suspendu ainsi avant de reprendre contact avec le fond plusieurs secondes voire dizaines de secondes plus tard. On suit ainsi le relief du fond de cette manière pendant toute la pêche. Il est possible de faire tressauter le leurre ainsi suspendu à l’aide de petits tremblements de la canne pour inciter le poisson à attaquer. Pour une présentation et une nage optimales, le leurre doit être à l’horizontal quand il est suspendu à l’arrêt et ne doit pas se coucher lorsqu’il repose sur le substrat. Pour cela, on utilise principalement des têtes dont la plombée est décentrée vers le bas (sabot, football, … ) et dont le poids est suffisant pour rester à la verticale du bateau. Voici quelques exemples de montages :
L’autre critère important à la verticale est la mobilité du leurre. Il doit vibrer sous le simple effet du mouvement d’eau lié au courant et à la dérive. La souplesse du leurre et l’appui de celui-ci sur l’eau (notamment la taille et la forme du battoir caudal) sont alors très importants.
La diagonale
C’est une variante de la verticale. Au lieu de présenter en aplomb du bateau, la ligne va être positionnée derrière la dérive. On va encore une fois suivre la topographie du fond. C’est une technique qui se situe entre la verticale et la pêche à gratter. Le principe est le même qu’en verticale, l’avantage est que le leurre a une nage plus planante du fait qu’il est alors possible de plomber plus légèrement. Le leurre est mieux aspiré à la touche, il en résulte moins de loupé. L’inconvénient par rapport à la verticale est que la longueur de ligne hors du moulinet est plus importante, la perception des touches peut donc s’en trouver altérée.
Le texan adapté au shad
En comptant le linéaire et la traction cités dans la première partie, nous venons de voir cinq techniques de pêche pouvant faire intervenir le shad : le linéaire, la traction, la pêche à gratter, la verticale et la diagonale. J’ai évoqué un peu plus haut la possibilité de pêcher en texan lorsque les postes sont encombrés. Ici, le texan ne va pas être une technique à part entière mais je veux le détailler car ce montage est un atout sur secteur encombré puisque l’hameçon va être caché dans le leurre. Attention cependant, les risques de loupé à la touche sont tout de même plus importants que sur une tête classique. Le texan n’est donc pas à utiliser dans 100% des cas.
On va pouvoir observer plusieurs variantes de montage. Dans tous les montages que nous allons voir, le choix de l’hameçon est important. Il doit se faire de manière à ce que celui-ci puisse basculer efficacement pour dégager la pointe au moment où le poisson engame. Les shads à section ronde (Power Minnow Ecogear, Slitshad sakura, Ammonite Shad Illex, Tournament D Fin shad Daiwa, Swim Shad Keiteck, Jerky J Swim Castaic, Die Dapper Bass Assassin, SwimFish Lunker City,…) sont bien adaptés. Certains sont même fendus de manière à faciliter le basculement de l’hameçon Texan.
Le premier montage auquel on pense tout de suite est celui avec un hameçon texan non plombé ou plombé soit sur la hampe, soit en tête. Ces trois montages vont être utilisables pour les pêches en linéaire.
Pour les pêches à gratter, on peut utiliser le texan plombé en tête ou réaliser un montage inspiré des pêches du black-bass type texas rig ou carolina rig pour les fort grammages.
Un problème pouvant être rencontré avec ces montages inspirés de la pêche du bass est que lors de leur emploi avec des leurres type shad, certains modèles de leurre ont tendance à se coucher à la descente du leurre et donc à mal présenter. Il est alors possible pour palier à ce défaut de présentation de monter l’hameçon texan sur une tête plombée articulée, plus lourde. D’ailleurs, Delalande en distribue ainsi que Owner et Fiiish.
Pour ma part, j’utilise les têtes Storm dont je remplace le simple fourni par un texan de taille adaptée. Ce type de montage s’adapte alors très bien aux shads cités ci-dessus. Voici quelques exemples. On remarque donc qu’au final, peu de shad vont pouvoir s’adapter sur ce type de montage. Le leurre doit présenter une section circulaire et être fendu.
Depuis la saison dernière, je modifie donc les têtes articulées pour qu’elles s’adaptent à plus de modèle de leurres en réalisant un montage que je nomme texhor (pour texan horizontal). Voici le principe : il suffit de faire faire une rotation de 90° à la fixation de l’hameçon. J’y met ensuite mon texan puis le leurre. L’hameçon se retrouve alors à l’horizontal dans le leurre.
En faisant cela, on modifie la nage du leurre en augmentant son rolling car on le rigidifie mais cela reste très pêchant. Les shads type shaker, shadGT, … peuvent alors être montés pour pêcher à gratter ou en traction. Jusque là, je n’ai pas observé plus de décroché qu’en texan classique.
Voilà, j'espère que l'objectif est atteint et que chacun y aura trouvé quelque chose d'intéressant.
http://fish.for.fun.blog.free.fr/index.php?category/Techniques
Si (le) shad vous intéresse... (Partie 2)
Article et crédit photos = Alexandre Gardien ==> Alex 29/27
Dans la première partie, nous avons évoqué ce qui caractérisait un shad en s’arrêtant plus particulièrement sur sa nage et la manière de modifier celle-ci si nécessaire pour s’adapter au mieux aux conditions de pêche. Ont également été décrites deux techniques, l’une en vogue ces dernières années : la traction. L’autre simple à mettre en œuvre, utilisable en mer et de plus en plus citée pour l'eau douce : la pêche en linéaire. Cette seconde partie est plutôt un récapitulatif des autres techniques pouvant faire intervenir les shads. Elles ne sont pas si nombreuses que ça et ont l’avantage d’être complémentaires au deux précédentes et de pouvoir être pratiquées avec d’autres familles de leurres tels que finesse, worms, slugs,… et ce, en mer comme en eau douce.
La pêche à gratter
Cette pêche s’applique aux shads mais pas que … Les worms, finesses, slugs, virgules peuvent également être de mise. Comme sont nom l'indique, il va falloir ici pêcher en grattant le fond en y laissant le leurre le plus possible (attention, je n’ai pas dit « le plus de leurres possibles »). Le but est de suivre au mieux la topographie en exerçant des petites tirées plus ou moins sèches avec éventuellement des petits temps de pause et de brefs décollements du fond avec une animation en dent de scie.
Cette technique se destine à des poissons plutôt peu actifs et donc peu enclins à mordre. On peut la pratiquer du bord comme en bateau. La longueur de la canne sera donc en conséquent : 2,10m sur l’eau et 2,40m à 2,70m du bord. La puissance dépend des leurres utilisés et peut donc aller de 10-30grs à 50-100grs. Les tresses sont également fonction des leurres utilisés et poissons recherchés. 12 à 20/100 et 28 à 45/100 pour les fluorocarbones. Les risques d’accroche étant relativement élevés, il est possible de passer en texan comme nous le verrons un peu plus loin.
Pour cette pêche à partir d’une embarcation, la canne doit être courte (1,80 à 2,10m) avec une action Xtra-fast à fast. La tresse et le fluorocarbone seront du plus faible diamètre possible par rapport aux conditions de pêche. Ils permettrons de diminuer l’appui du courant sur la ligne et donc de la garder le plus verticale possible tout en minimisant le poids de la tête plombée.
L’animation : il faut prendre contact avec le fond, puis légèrement décoller le leurre de quelques centimètres ou dizaine de centimètres et le laisser suspendu ainsi avant de reprendre contact avec le fond plusieurs secondes voire dizaines de secondes plus tard. On suit ainsi le relief du fond de cette manière pendant toute la pêche. Il est possible de faire tressauter le leurre ainsi suspendu à l’aide de petits tremblements de la canne pour inciter le poisson à attaquer. Pour une présentation et une nage optimales, le leurre doit être à l’horizontal quand il est suspendu à l’arrêt et ne doit pas se coucher lorsqu’il repose sur le substrat. Pour cela, on utilise principalement des têtes dont la plombée est décentrée vers le bas (sabot, football, … ) et dont le poids est suffisant pour rester à la verticale du bateau. Voici quelques exemples de montages :
L’autre critère important à la verticale est la mobilité du leurre. Il doit vibrer sous le simple effet du mouvement d’eau lié au courant et à la dérive. La souplesse du leurre et l’appui de celui-ci sur l’eau (notamment la taille et la forme du battoir caudal) sont alors très importants.
La diagonale
C’est une variante de la verticale. Au lieu de présenter en aplomb du bateau, la ligne va être positionnée derrière la dérive. On va encore une fois suivre la topographie du fond. C’est une technique qui se situe entre la verticale et la pêche à gratter. Le principe est le même qu’en verticale, l’avantage est que le leurre a une nage plus planante du fait qu’il est alors possible de plomber plus légèrement. Le leurre est mieux aspiré à la touche, il en résulte moins de loupé. L’inconvénient par rapport à la verticale est que la longueur de ligne hors du moulinet est plus importante, la perception des touches peut donc s’en trouver altérée.
Le texan adapté au shad
En comptant le linéaire et la traction cités dans la première partie, nous venons de voir cinq techniques de pêche pouvant faire intervenir le shad : le linéaire, la traction, la pêche à gratter, la verticale et la diagonale. J’ai évoqué un peu plus haut la possibilité de pêcher en texan lorsque les postes sont encombrés. Ici, le texan ne va pas être une technique à part entière mais je veux le détailler car ce montage est un atout sur secteur encombré puisque l’hameçon va être caché dans le leurre. Attention cependant, les risques de loupé à la touche sont tout de même plus importants que sur une tête classique. Le texan n’est donc pas à utiliser dans 100% des cas.
On va pouvoir observer plusieurs variantes de montage. Dans tous les montages que nous allons voir, le choix de l’hameçon est important. Il doit se faire de manière à ce que celui-ci puisse basculer efficacement pour dégager la pointe au moment où le poisson engame. Les shads à section ronde (Power Minnow Ecogear, Slitshad sakura, Ammonite Shad Illex, Tournament D Fin shad Daiwa, Swim Shad Keiteck, Jerky J Swim Castaic, Die Dapper Bass Assassin, SwimFish Lunker City,…) sont bien adaptés. Certains sont même fendus de manière à faciliter le basculement de l’hameçon Texan.
Le premier montage auquel on pense tout de suite est celui avec un hameçon texan non plombé ou plombé soit sur la hampe, soit en tête. Ces trois montages vont être utilisables pour les pêches en linéaire.
Pour les pêches à gratter, on peut utiliser le texan plombé en tête ou réaliser un montage inspiré des pêches du black-bass type texas rig ou carolina rig pour les fort grammages.
Un problème pouvant être rencontré avec ces montages inspirés de la pêche du bass est que lors de leur emploi avec des leurres type shad, certains modèles de leurre ont tendance à se coucher à la descente du leurre et donc à mal présenter. Il est alors possible pour palier à ce défaut de présentation de monter l’hameçon texan sur une tête plombée articulée, plus lourde. D’ailleurs, Delalande en distribue ainsi que Owner et Fiiish.
Pour ma part, j’utilise les têtes Storm dont je remplace le simple fourni par un texan de taille adaptée. Ce type de montage s’adapte alors très bien aux shads cités ci-dessus. Voici quelques exemples. On remarque donc qu’au final, peu de shad vont pouvoir s’adapter sur ce type de montage. Le leurre doit présenter une section circulaire et être fendu.
Depuis la saison dernière, je modifie donc les têtes articulées pour qu’elles s’adaptent à plus de modèle de leurres en réalisant un montage que je nomme texhor (pour texan horizontal). Voici le principe : il suffit de faire faire une rotation de 90° à la fixation de l’hameçon. J’y met ensuite mon texan puis le leurre. L’hameçon se retrouve alors à l’horizontal dans le leurre.
En faisant cela, on modifie la nage du leurre en augmentant son rolling car on le rigidifie mais cela reste très pêchant. Les shads type shaker, shadGT, … peuvent alors être montés pour pêcher à gratter ou en traction. Jusque là, je n’ai pas observé plus de décroché qu’en texan classique.
Voilà, j'espère que l'objectif est atteint et que chacun y aura trouvé quelque chose d'intéressant.
Yves 14- Bar
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Re: Le shad par Alex 29/27
Un gros et superbe boulot de la part d'Alex. Avec l'habitude, on perd souvent le repère des bases, c'est une bonne piqure de rappel.
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Carpe diem
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Roazhoner- Staff Passion-Peches
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